la vie est belle alors souris...

Tout est éphemere. L'amour, la Haine, le Bonheur & son contraire. Aimer pour la vie. Elle m'a toujours fait peur cette formule. Par sa forme, et ce qu'elle cache. Comme si Aimer, était une régle, une doctrine dictée et à respecter. Non, moi j'aime à ma façon. J'aime un peu, J'aime sans aimer, J'aime difficilement, J'aime particuliérement, J'aime indefiniment. J'aime de façon introvertie, peut être est ce mon bouclier. Apres tout. On m'a demander si c'était possible d'aimer sans souffrir. Non. Pour moi, c'est radical. Si tu aimes, tu acceptes cette condition. Les moments où ton égo, ta fierté, en prenne un coup, se trouve généralement liés à ce sentiment. Pourtant c'est un des premiers mots dont tu comprends le terme. Une boule au ventre, les mots qui bloquent au niveau de la gorge, des musiques, des films qui te font penser à une, ou des personne. Les jours comptés, les moments attendus. Les larmes, les joies, les peines, les pleurs, les rires, les cris. C'est fou l'ampleur que ce foutu mot peut avoir sur nous. Alors on limite. Ou du moins je limite. Je vais certainement me faire lincher, mais je choisis qui aimer. "On ne choisit pas, t'as encore rien compris". Chez moi, si. Quand je vois que je m'investis trop, je me tire, avant que ce soit l'autre qui me tire dessus. Je choisis qui Aimer & Comment. Une carapace construite sur l'insensibilité, comme d'autres choisiront la fragilité. J'ai opté pour le premier camp. Vais je gagner la guerre, et en combien de batailles (...).Dependance & passion. Ne jamais relier ces deux notions à ce sentiment. Pourquoi. Pour la simple & bonne raison, que ce sont deux voies sans issues.*