la vie est belle alors souris...

Le vent entremellait chaques mèches de cheveux. Si mes yeux suivaient le vas et viens des passants, il n'en ai pas moins que mon esprit voguais déjà parmis la foule. J'aurai aimer entrevoir cette douce idylle qui me caressait, du bout des lèvres, mon envie d'ailleurs. Je n'ai su en saisir que de vagues esquisses devenues souvenirs. Chaques instants, même le plus court, j'aurai voulu les capturer et les enfermer dans une boite magique. Protegés du regard menaçant des Autres. La vie est un semblant de rien, mais il y aurai tant à raconter.